FabWorkplace x Auum – Arrêtons l’usage unique ensemble !

Les objets à usage unique répondent aux besoins d'hygiène du monde moderne. Auum prouve que santé et respect de l'environnement sont pourtant compatibles.
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FabWorkplace x Auum - Arrêtons l'usage unique ensemble !

Commencez par nous dire qui vous êtes et ce qu’est Auum.

Je suis Clément et cela fait maintenant 2 ans que je suis sur le projet Auum.

Ingénieur de formation, j’ai travaillé auparavant 6 ans chez Loréal. J’ai fait de la logistique, commerce et marketing puis je suis passé directeur de l’Innovation dans une petite PME.

Nous avions une stratégie d’open innovation et avons développé d’autres entreprises. J’ai quitté ce précédent emploi pour me consacrer à 100% sur le projet Auum qui a été un coup de cœur.

Auum, c’est 4 cofondateurs à travailler sur le sujet. 2 travaillent sur la technique, 1 sur le marketing et moi sur la partie commerciale et financière. 3 nouveaux collaborateurs nous ont rejoint pour travailler sur le support.

Dès le démarrage nous avons beaucoup travaillé sur le sens du nom Auum.

Le nom Auum vient d’une syllabe du sanskrit aum (Om̐) que l’on retrouve notamment dans la religion hindouiste (ses yogas) et le bouddhisme. Cette syllabe représente le son originel, primordial à partir duquel l’univers se serait structuré.

Nous avions envie de retrouver cette résonance entre la planète et la terre.

En partant de aum, l’acronyme arrêtons l’usage unique maintenant est né. Nous avons simplement changé l’orthographe, 4 lettres car nous étions 4 fondateurs. Le « A » signifie le début, le « U » la vie et le « M » la fin. Comme nous avions envie de prolonger la vie, nous avons ajouté un « U ».

Cet ajout, nous permettait aussi d’éviter la confusion pour les personnes pratiquant le yoga.

Tout ça a pris sens naturellement et nous avons créé notre base line « arrêtons l’usage unique maintenant », ce qui permet d’expliquer aux gens, d’une part ce que l’on faisait et d’autre part faire en sorte que les gens arrivent facilement à écrire le nom Auum assez facilement.

Dans quelles régions ou villes travaillez-vous ?

Toute notre équipe travaille dans un incubateur du XVe arrondissement de Paris, Impulse Partners.

Cela nous a permis de démarrer tranquillement notre activité.

Il était important que nous soyons à Paris, car nous sommes sur un business assez premium et la majorité des sièges sociaux de nos clients ou clients potentiels sont basés ici.

Nous avons envie d’étendre notre marché au reste de la France mais aussi à l’Europe assez rapidement et à l’international. 

Aujourd’hui nous traitons beaucoup en direct avec nos clients, pour apprendre à les connaître et affiner notre business modèle.

Il y a aussi pas mal de partenaires potentiels comme les distributeurs de machines à café, distributeur d’eau qui sont à la recherche de solutions pour remplacer les gobelets jetables.

Qui sont vos clients ?

Il y a un peu moins d’un an, nous avons fait une vidéo sur LinkedIn qui a récolté 700 000 vues et généré des leads qui nous ont permis de nous demander comment utiliser cette traction pour financer notre phase de développement.

Donc très tôt, on a fait du marketing et du commerce pour valider une sorte de go to market et être surs que tous les développements et les investissements que nous allions faire avaient des clients en face.

Il y a un peu moins d’un an, nous avons fait une vidéo sur LinkedIn qui a récolté 700 000 vues et généré des leads qui nous ont permis de nous demander comment utiliser cette traction pour financer notre phase de développement.

C’est dans ce cadre-là que nous avons commencé les pré-commandes.

Nous sommes allés voir les clients en leur proposant de payer 6 mois de loyer d’avance, pour en échange leur réserver la machine que l’on produira au moment du lancement avec une garantie en plus, une phase de test chez eux, en amont.

Nos clients sont principalement des grands groupes français (EDF, Loréal, Saint Gobain, Accenture …). Ils prennent 2 ou 3 machines pour tester et ensuite potentiellement les dupliquer.

Aujourd’hui, nous avons 35 machines en précommande.

Les objets à usage unique répondent aux besoins d'hygiène du monde moderne. Auum prouve que santé et respect de l'environnement sont pourtant compatibles.
Auum 1

L'éco-conception au cœur de la machine

Où et comment sont fabriqués les Auum 1 ?

Nous avons fait le choix au démarrage, d’internaliser la phase de fabrication, sachant qu’il n’y a pas de complexité dans l’assemblage. Les machines sont montées chez nous dans nos locaux.

Une vingtaine de machines peuvent être assemblées par semaine. Notre objectif est d’en fabriquer 150 d’ici septembre. L’assemblage se fera toujours en France.

Les composants eux, proviennent de différents fournisseurs en Europe.

Avoir un bilan qui soit le plus faible possible sur la machine nous tient vraiment à cœur mais la priorité reste pour le moment de sortir la machine avec des fournisseurs de qualité. Nous avons d’ailleurs un très bon réseau de fournisseurs européens à date.

Dans tous les cas, notre stratégie est de produire au plus près du marché sur lequel nous proposons notre machine.

Comment fonctionne Auum 1 ?

La machine est composée de plusieurs briques technologiques.

Il y a d’abord la chaudière qui va permettre de générer de la vapeur qui va nettoyer le verre.

Le séchage du verre qui se fait par un apport d’air.

Nous allons ensuite gérer toute la partie effluent/évacuation.

Enfin le point le plus important, c’est le nettoyage. On vient poser le verre sur un dôme qui est complémentaire au verre.

Nous avons travaillé avec BODUM pour standardiser la forme de nos verres.

Pour proposer un produit qui soit le plus écologique et le plus pertinent possible, il fallait que nous maîtrisions absolument la forme.

Si nous avions choisi d’opter pour des gammes de formes différentes, nous aurions dû ajouter de la chimie et beaucoup d’énergie à apporter au système de nettoyage, sans la garantie que ce dernier soit optimal. On perdait tout l’intérêt de notre machine.

Nous avons donc choisi un seul type de verre avec des formes extrêmement arrondies, sans angles saillants pour avoir le nettoyage le plus efficient et parfait possible.

Le nettoyage se fait en quelques secondes, avec seulement 2cl d’eau, sans chimie, avec de la vapeur qui à plus de 130° vient nettoyer les infections et dégraisser.

Ensuite le flux d’air va venir sécher le verre. Lorsqu’on récupère le verre, celui-ci est sec, propre et désinfecté.

Comment se passe concrètement l’installation chez vos clients ?

Nous voulions une machine qui soit extrêmement simple et accessible à tous. L’intérêt de cette technologie, est qu’avec un réservoir de 2l, elle permet une centaine de nettoyage en toute autonomie.

Il n’y a pas besoin de la connecter à un système d’arrivée et d’évacuation d’eau. On remplit le réservoir comme sur toutes les machines à café et on vide le bac tous les 100 nettoyages.

La seule chose dont la machine a besoin, c’est d’être branchée sur une prise 220v.

Les entreprises qui le souhaitent, ont cependant la possibilité de raccorder la machine à une arrivée et évacuation d’eau pour ne plus à avoir à remplir et vider les bacs.

Dans ce cas, soit l’entreprise a le personnel qu’il faut pour l’installation, nous leur fournissons alors les raccordements ; soit nous leur fournissons une prestation d’installation.

Sur une demi-journée nous sommes capables d’en installer trois.

Combien d’Auum recommandez-vous d’installer en fonction de la taille de l’entreprise ?

Il faut savoir qu’avec la machine, nous offrons 24 verres. Nous préconisons 48 verres minimum par machine. Donc une machine pour environ 50 à 70 utilisateurs.

Nous recommandons également que nos machines soient placées au plus près des zones où les collaborateurs prennent leurs cafés. Tout dépend de la disposition et de la taille de l’entreprise.

Quelle est la durée de vie d’une Auum 1 ?

Dans notre business plan nous avons prévu une durée de vie de 5 ans avec des utilisations assez importantes.

Le modèle de la location est un des éléments avec notre process de maintenance pour faire perdurer la machine au-delà de ces 5 ans.

Nous avons monté un programme qui s’appelle Auum Infinity dont l’objectif est de recycler 100% de la machine, de la reconditionner pour la remettre en service chez nos clients.

C’est une machine robuste avec des éléments en inox.

Aucun moule en plastique ou autre n’est utilisé.

Il y a peu d’éléments plastiques. Il y en a un peu dans les raccordements ou tuyaux à l’intérieur.

Tout l’aspect extérieur est 0 plastique et les éléments intérieurs sont extrêmement robustes.

L’idée est d’avoir le moins de maintenance possible et une machine qui dure dans le temps.

Nous avons tout intérêt à avoir des machines facilement réparables idem sur la partie recyclage qui est extrêmement important pour nous.

C’est un moyen de rentabiliser notre business.

Comment l’entretien-t-on ?

Nous avons des cartouches déminéralisantes qu’il faudra changer environ une fois par trimestre. Ces cartouches permettent d’éviter que la machine s’entartre. Ces cartouches sont sous forme de bombonnes que l’on recycle.

Le remplacement des cartouches se fait par nos soins et est compris dans le service de la location.

Parlons des verres maintenant, pouvez-vous nous en dire quelques mots ?

Aujourd’hui nous proposons un seul format de verre.

Ce format se veut universel, avec le choix de la transparence du verre qui permet de boire du chaud et du froid.

Une double paroi pour éviter d’avoir une anse et de la complexité au nettoyage (le verre tourne dans la machine) mais aussi pour éviter de se brûler.

Sur la capacité, on est sur du 25cl. A terme, nous souhaitons développer deux types de contenants en plus, du 50 et 75cl.

A l’origine, nous voulions faire nos verres nous-même en travaillant avec un verrier. On a acheté des verres BODUM dans le commerce pour faire nos tests.

Comme ça fonctionnait très bien, nous avons contacté la marque.

On a redesigné la forme des verres pour lever les contraintes dimensionnelles et qu’ils s’adaptent aux moules intérieurs et extérieurs qui les encapsulent complètement.

On leur a donc demandé d’avoir un vrai process qualité pour pouvoir apposer notre marque sur tous les verres.

Les verres sont personnalisables.

Nous travaillons avec un partenaire qui réalise la personnalisation des verres BODUM. On peut aller de 1 à 5 couleurs.

L’offre d’entrée est à 6 euros le verre.

Concernant la fabrication des verres, ils sont fabriqués en Chine, seul marché aujourd’hui à proposer le verre à double paroi. En Europe, ces types de verres sont en plastique avec du coup une qualité moindre.

Les objets à usage unique répondent aux besoins d'hygiène du monde moderne. Auum prouve que santé et respect de l'environnement sont pourtant compatibles.
Un design moderne et épuré

Pour aller plus loin ...

Quels sont vos projets pour les mois à venir ?

L’industrialisation des machines, pour être capable d’ici fin septembre, d’arriver chez nos clients.

Ensuite travailler sur l’amélioration et l’optimisation de la machine. Je suis persuadé qu’elle évoluera d’ici les prochaines années.

Enfin, développer notre marché. Nous commençons à avoir des demandes dans la cosmétique, notamment concernant la consommation de flacons de parfum. Nous pensons aussi au nettoyage des bouteilles mises en consigne où il y a pas mal de choses à faire.

Quelle est la question qu’on ne vous pose jamais et à laquelle vous aimeriez répondre ?

Aujourd’hui, je m’intéresse beaucoup au sujet de la décroissance et plus particulièrement la low-tech dont on ne parle pas beaucoup.

Comment faire de la technologie sans polluer ?

Je réfléchis sur la manière de faire du hardware en faisant attention à nos ressources tout en améliorant drastiquement l’efficacité de la machine.

Ce qu’on aime chez Auum:

Une machine durable, design, simple d’utilisation, rapide, et efficiente pour un nettoyage et une désinfection totale des verres. 

L’innovation en matière de nettoyage pour un minimum d’effort et un impact environnemental minimal.  

 

Le déménagement de vos bureaux, tout en efficacité

Move office spécialiste du déménagement des bureaux en région parisienne

Le déménagement de vos bureaux, tout en efficacité

Le déménagement d’une entreprise est souvent à la fois chronophage et stressant pour le chef d’entreprise et son équipe. Pour mettre toutes les chances de son côté : avoir une bonne gestion de projet et choisir les bons prestataires !

Entretien avec Hubert de Latour, 
fondateur de Move Office

Move office spécialiste du déménagement des bureaux en région parisienne

Commencez par nous dire qui vous êtes et d’où vous est venue l’idée de Move Office ?

Les études n’étant pas faites pour moi, j’ai commencé à travailler dans la grande distribution puis la logistique.

Un jour je me suis retrouvé au chômage. L’entreprise JM Bruneau cherchait des personnes pour livrer et monter des meubles de bureau. J’ai foncé : j’ai loué un camion, embauché quelqu’un qui a démarré en portage salarial dans une autre entreprise et j’ai démarré sans attendre ! La création de mon entreprise a suivi.

J’étais sous traitant et j’ai ainsi installé des lits, des armoires et des bureaux pendant des années. D’un jour à l’autre mes contrats se sont arrêtés. C’était en 2010. Alors j’ai monté Move Office, mon entreprise de déménagement. Nous sommes spécialisés dans le déménagement de bureaux et d’entreprises, de PME, de cabinets d’avocats www.moveoffice.fr

Dans quelles régions travaillez-vous ?

Je travaille uniquement en région parisienne, je ne souhaite pas me disperser en allant travailler dans d’autres régions.

La plupart des entreprises font très peu de distance quand elles déménagent :  elles font souvent seulement quelques centaines de mètres. Donc le principal sujet du déménagement, ce n’est pas la distance ni la couverture nationale.

Qu’est qui fait qu’un déménagement se passe bien ?

Il faut savoir écouter le client, répondre à ses préoccupations. Il faut également décomposer et lui indiquer l’ordre des différentes phases et les priorités.

C’est quoi un déménagement qui se passe mal ?

Un déménagement se passe mal si le lendemain les salariés ne peuvent pas s’assoir à leurs bureaux, allumer leurs ordinateurs et répondre à un client.

Combien de temps avant un déménagement doit-on vous contacter ?

L’idéal est de le prévoir au moins 2 mois avant, moins d’un mois c’est possible, mais la contrainte la plus forte est la connexion internet et téléphonique.

Qu’est-ce qui vous différencie d’autres entreprises de déménagement ?

D’abord la forte implication du patron de la visite au déménagement ; et après le déménagement, je dois récupérer mes caisses, donc s’il y a un meuble à déplacer ou une petite intervention à réaliser, on le fait alors, c’est très apprécié.

En matière de développement durable, nous n’utilisons plus de cartons et nous avons été les premiers à le faire. Très peu le proposent. Les déchets sont traités vers les bonnes filières et nous proposons un réemploi pour les meubles.

Enfin, divers éléments également appréciés : exclusivité sur la date du déménagement, accompagnement, conseils, expériences, livre blanc, livret du déménagé, rétroplanning.

Quels sont les principaux problèmes auxquels vous faites face ?

Mon plus gros problème c’est la concurrence déloyale des entreprises qui ne déclarent pas leurs salariés.

Les entreprises qui déménagent devraient s’intéresser plus aux conditions de travail et au régime juridique des personnes employées sur un déménagement.

Comment recrutez-vous les personnes de votre équipe ?

Je ne passe pas d’annonce, je recrute par cooptation. La plupart de mes déménageurs travaillent avec moi depuis 10 ou 15 ans. Ils sont en contrat d’usage avec moi.

Quels sont vos projets pour les mois à venir ?

A court terme, développer et pérenniser ma marque commerciale.

A plus long terme, je chercherai un successeur.

Quelle est la question qu’on ne vous pose jamais et à laquelle vous aimeriez répondre ?

Surtout au début, j’étais très étonné qu’on ne me demande jamais si je savais faire, alors que mon début de carrière était dans un tout autre métier. La confiance des clients est venue très rapidement, sans doute parce que mon discours est cohérent !

Lancement de FabWorkplace

Hélène Boulet-Supau

LANCEMENT DE FABWORKPLACE

Aujourd’hui est un grand jour pour l’équipe FabWorkplace : c’est la mise en ligne du site fabworkplace.com !

Entretien avec Hélène Boulet-Supau, fondatrice de FabWorkplace

Commencez par nous dire qui vous êtes

Je suis une entrepreneure de 52 ans avec une longue vie professionnelle bien remplie. Après 12 ans à diverses fonctions financières, je suis devenue directrice financière du groupe Pierre et Vacances. Ensuite, j’ai changé radicalement de trajectoire et recherché un projet entrepreneurial tout en exerçant une activité de consultante financière. Après un premier projet dans le prêt-à-porter, en 2007 j’ai repris la direction de Sarenza avec Stéphane Treppoz. Nous avons redressé et développé Sarenza pendant 12 ans, une belle entreprise et une expérience très forte !

Hélène Boulet-Supau

Que fait votre entreprise ?

FabWorkplace apporte un service de facility management aux PME et le rend bien plus efficace en le digitalisant.

FabWorkplace permet aux chefs d’entreprise de se concentrer sur leur business et de gagner du temps et de l’argent en déléguant leurs services généraux. Nous nous adressons aux PME de 50 à 1000 personnes qui recherchent de la simplicité, de l’efficacité et le confort de leurs équipes.

D’où vous est venue l’idée de FabWorkplace, c’est bien loin de l’e-commerce ?

FabWorkplace est née des problématiques rencontrées en tant que chef d’entreprise au sein de Sarenza. Nous avons eu 6 adresses différentes et 2 déménagements complets des équipes en 12 ans. Ce qui m’a amenée à passer beaucoup de temps sur des sujets qui n’étaient pas liés directement à mon business et à mes clients. Pourtant, c’était essentiel à la bonne marche de l’entreprise. J’ai dû m’occuper moi-même de problèmes de bureaux et de services généraux, en ayant au cœur de mes préoccupations le bien-être des salariés et le “do more with less” des PME.

Comme je viens du web, avec un niveau de service extraordinaire, de l’agilité, de la vitesse, l’indispensable confiance des clients et les problématiques des entreprises de croissance avec des budgets trop souvent restreints et des projets pleins les tiroirs, j’ai tout de suite pensé au web service, pour plus d‘efficacité et une gestion lean des problèmes quotidiens de services généraux.

Le nom FabWorkplace provient de « Fabulous Workplace » qui est notre objectif ! Le client est au cœur de notre service. Nous allons proposer une qualité de service irréprochable avec des FabWorkplace Partners très orientés clients.

 

Quel est votre raison d’être ? Quelles sont les valeurs de FabWorkplace ?

Nous voulons donner de l’énergie pour entreprendre : nous travaillons pour que les entrepreneurs se focalisent sur leur activité et pour que les salariés se sentent bien dans leur espace de travail.

Le travail sur nos valeurs s’articule autour de 6 idées :

Tout d’abord,  nous mettons au centre le client et le développement durable. Le client pour nous, c’est le chef d’entreprise bien sûr mais aussi tous ses salariés. L’objectif est de faire de la délégation de services généraux un véritable service BtoBtoC et d’utiliser au maximum dans les services généraux des solutions qui respectent l’environnement et les personnes.

Ensuite, la transparence, un atout majeur du digital : transparence vis-à-vis de nos clients, de nos partenaires et en interne, car la transparence installe la confiance et permet de travailler efficacement et sereinement.

La simplicité est très importante pour nous car c’est une brique majeure de l’efficacité et de la frugalité. Et parce que nous avons tous besoin de simplicité dans nos journées bien remplies.

Etre apporteur de solutions, c’est essentiel dans notre métier : nous devons trouver des solutions à toutes sortes de problèmes. Notre équipe est pleine d’énergie positive et de créativité pour être réellement apporteuse de solutions.

Enfin le jeu collectif, parce qu’être capable de jouer collectif, cela donne de la vitesse, cela permet de tirer partie des complémentarités et de créer de l’intelligence collective, donc de la valeur pour l’entreprise, ses clients, ses partenaires et ses salariés.

Quels sont vos projets pour les prochains mois à venir ?

Le site  www.FabWorkplace.com est en ligne, ce qui nous permet de de lancer la commercialisation.

En parallèle, nous travaillons à l’amélioration du web service : nous avons déjà une première version, et l’objectif de sortir la deuxième en fin d’année.

Bien entendu, nous rencontrons des prestataires de services généraux car notre métier, c’est aussi de sélectionner les meilleurs services de facility management pour nos clients et d’être à la pointe de l’innovation, notamment en matière de RSE qui est au cœur de nos valeurs d’entreprise.